Bordeaux
Et si Paris se faisait chiper le titre de « ville de l’amour » ? C’est du moins l’une des interprétations possibles qui ressort de l’enquête menée par Meetic. À l’intérieur de celle-ci, des données qui viennent contredire les idées reçues et redorer l’image de la ville.
Cette Saint-Valentin a sûrement dû battre son plein côté Bordeaux. Devant Paris et une surprenante 6e place, Lyon (3e) ou encore Lille (2e), la cité girondine se hisse à la première place des villes où l’on trouve le plus de célibataires Meetic. Un classement ramené au nombre d’habitants bien sûr, mais qui ajoute une nouvelle facette à l’attractivité de la ville. Maintenant que vous le savez, plus d’excuses ! Une fois le premier pas fait, pléthore de célibataires s’offrent à vous. Malheureusement, cela n’implique pas forcément la rencontre. D’après Love Connection en novembre 2018, « 56 % des célibataires affirment d’ailleurs préférer une conversation intéressante à l’apparence de la personne ». La société évolue et cesse peu à peu de se baser sur le physique dans un monde où les premiers contacts se résument à l’apparence.
Ces données réussissent moins à Bordeaux qu’à Paris. Les rapports de force s’inversent, avec une descente à la 4e place du Top 10 des villes où les célibataires Meetic sont les plus actifs (sur la base des messages échangés), tandis que la ville lumière prend la tête. De plus, avec la fonctionnalité Meetic Voice permettant d’enregistrer des notes vocales sur son profil, la voix s’affirme comme un atout majeur des rencontres d’après 85 % des utilisateurs. Dans le Top 10 des villes ayant le plus souvent recours à cette fonctionnalité, statu quo pour les deux métropoles. Si vous vous demandiez où trouver l’amour en France, en voilà la réponse. Malgré tout, être célibataire n’oblige en rien d’être sur les sites de rencontres. L’important reste encore de se faire confiance et de croire, aussi, au hasard, sans le forcer. De nombreux établissements organisent d’ailleurs des événements spécialement conçus pour favoriser les rencontres et possiblement plus.
Ecrit par Louis Molter