Bordeaux
Samedi 16 décembre les BURDIS affrontaient le CSM Clamart Volleyball au Palais des Sports. En affrontant les parisiennes, deuxième au classement ELITE FEMININE (21 points), les joueuses de BMV devaient jouer sans pression et espérer créer une heureuse surprise !!
Malgré une belle énergie et une forte motivation, les BURDIS sont dominées dans le 1er set et Clamart l’emporte 25 à 18. Après ce début de match fragile, les Bordelaises se sont libérées dans le 2ème set. Les rentrées de Corinne Cardassay et d’Anna Janel ont permis aux BURDIS de retrouver leur bloc et surtout plus de régularité dans le fond de jeu. Menées 22/20, elles ont su retourner la situation et remporter le set 25/22. Les débats sont restés équilibrés tout le long du 3ème set. Mais encore une fois les Burdis l’emportent sur le fil grâce un smash rageur d’Anna Janel (25/23).
- Simone Flore Bikatal en action
Dans le quatrième set, l’intensité est montée d’un cran. Les joueuses redoublaient de vivacité sur chaque point. Un point gagné par Clamart était de suite repris par les Burdis avec un engagement total des joueuses conscientes de pouvoir réaliser une performance. Chaque équipe opposait un vrai combat. Le suspens arrivait à son sommet dans les derniers points. Aucune équipe ne voulait lâcher. Le public était debout pour chaque point marqué par les Burdis. La manche va être finalement gagnée 28/26 par les bordelaises !!
- Le contre des Burdis
Victoire 3 sets à 1. Les BURDIS reviennent à 10 points (à égalité avec le volleyball Romanais) et à seulement 2 points de Poitiers (5ème au classement). La solidarité qui faisait défaut ces derniers temps semble être revenue, et toujours entourées d’un public généreux et enjoué, les BURDIS vont continuer leur chemin. et surement améliorer leurs performances car elles en prennent la route.Le Président Sylvain Morvan et l’entraîneur Jean-rené Akoro n’ont pu que se réjouir de ce beau succès qui redonne le moral aux supporters avant d’affronter les prochaines étapes de ce difficile championnat d’Elite.
Ecrit par Ophélie Prud’homme