A l’occasion de la journée mondiale du tourisme, HomeExchange communique sur sa volonté de donner à tous les moyens de fuir le tourisme de masse, pour un tourisme plus responsable.
Quand on voit à quoi ressemblent aujourd’hui Venise et certaines plages le long des côtes où que ce soit, on s’aperçoit que l’équilibre de la nature et de la vie locale est ravagé par la machine commerciale qu’est bien souvent devenue l’industrie du tourisme qui se veut un tourisme de masse entraînant des catastrophes comme le dépôt de bilan de Cook ou le sauvetage de l’entreprise aurait coûté moins cher que le rapatriement des 600.000 touristes laissés dans la nature. La sauvagerie des appétits financiers est pire que tout ce que l’on pouvait imaginer et c’est eux en premier lieu qui sont les destructeurs de la planète. Le 27 septembre prochain se tiendra la journée mondiale du tourisme. HomeExchange pense qu’il ne faut plus seulement simplement faire connaître ces vérités, fruits du tourisme de masse, mais que c’est le moment de donner à tous les moyens d’agir, en tant qu’entreprise et en tant qu’individus, pour réduire notre impact et promouvoir un tourisme plus bénéfique et moins ravageur. HomeExchange pense que voyager, c’est vivre la culture locale en immersion, pas seulement la regarder depuis sa fenêtre d’hôtel.
- Ce que l’on peut voir de la lagune à Venise avec les paquebots de croisière qui bouchent la vue
Sur l’ensemble des français qui sont partis en échange de maison depuis le début de l’année, 77% ont choisi de voyager en France ou dans des pays frontaliers. On assiste à un retour à l’authenticité, en redécouvrant diversité des paysages et culture, bien loin du tourisme de masse qui vous emporte par colonies aux confins de la planète avec un bilan carbone catastrophique. HomeExchange pense que tous les voyageurs devraient agir à la fois comme invités et acteurs, et non comme touristes spectateurs. HomeExchange pense que nous devrions tous réfléchir à l’impact environnemental de nos voyages pour faire les bons choix. L’échange de maison a tout pour être la manière de voyager la plus responsable. Bien loin de nourrir un tourisme standardisé et destructeur de valeur éthique, il valorise le tourisme local et bénéficie à un tourisme plus égalitaire et circulaire. Contrairement à d’autres modes de voyage axés sur la surenchère économique, l’échange de maison ne crée pas des villes fantômes occupées seulement trois mois par an. Ce sont les choix et les actions éclairés de chacun aujourd’hui qui feront le tourisme de demain. L’échange de maison est la solution qui permet à chacun d’agir pour un tourisme plus responsable.

Ecrit par Bernard Lamarque
Co-fondateur de Bordeaux Gazette
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