De New-York aux coteaux Agenais.

Passionné par l’histoire de France, les vieilles pierres, celles des « villages qui ont une âme », par les monuments historiques, il a longtemps eu envie de devenir tailleur de pierre et de s’initier au travail et à la réalisation de vitraux. C’est lors d’un voyage à New York, en visitant une exposition de luminaires en porcelaine qu’a eu lieu le déclic. Il change complétement de cap et vend la boutique bio qu’il gérait à Agen. Autodidacte dans le domaine de la sculpture, mais depuis toujours très agile de ses mains, il ne pouvait dès lors résister à l’appel de l’expression artistique.

Son travail - Ses œuvres

Son rêve, ses créations, il les accomplit avec de la porcelaine blanche, celle de Limoges exclusivement, qu’il achète sur place au poids. Ces pièces ébréchées, ou mal cuites, il les casse, les retaille, polit les arêtes, pour finir par les assembler sur une structure en métal grâce à des soudures aussi nettes que précises. Très perfectionniste, il s’est initié à l’art de la soudure.
Ses sculptures, sphères imposantes, totems et autres figures triangulaires aux multiples reflets de blanc, très souvent exposées dans des jardins à la française ou des parcs de châteaux (Monbazillac) donnent, dans ces lieux, un résultat tout à fait magique, sorte de mariage alchimique très heureux de la tradition et d’une expression contemporaine.

Des lieux prestigieux

Des Jardins du Manoir d’Eyrignac au Château Monbazillac, en passant par le château Gaby et les chais de Fronsac ou encore le château Saint Marcel en Lot et Garonne, le château La Hitte, le Relais château de Michel Trama à Puymirol les œuvres de notre sculpteur Lot et Garonnais sont parvenues jusqu’à Bordeaux pour le plus grand bonheur du magnifique hôtel Yndo (5 étoiles) et du prestigieux Saint-James.

De défilés de mode en Salons d’art, shootings photos, la notoriété des œuvres de Charles Indaud a déjà dépassé les limites de notre région : notre artiste vient de postuler au concours Art Luxembourg de la Galerie Hervé Lancelin, au Luxembourg. Parmi ses multiples ambitions, il souhaiterait un jour, exposer chez les grands chefs de la gastronomie française ayant des établissements à l’étranger. Selon pas mal d’adeptes du sculpteur, une participation à une prochaine exposition de l’Institut Bernard Magrez, ne serait pas une faute de goût.

Ayant pu comme il le dit, « laisser libre cours à (sa) créativité et à (sa) folie », ce jeune artiste plasticien, poète au cerveau bouillonnant, a trouvé sa voie. Son chemin initiatique n’en étant qu’à ses débuts, nul doute que dans l’avenir, l’aspect raisonnable mais aussi agressif et mystérieux qui se dégage de ses travaux devrait nous conduire vers des œuvres encore plus
accomplies, tant sur le plan symbolique qu’esthétique.

Le diaporama des créations de Charles Indaud que nous vous proposons maintenant, mérite sans aucun doute, toute votre attention ….

<sjcycle4983|center>