Bordeaux

L’après midi a démarré tranquillement sous un léger crachin qui n’avait pas découragé les manifestants et la déambulation s’est opérée non plus au son de Macron démission, mais sur les paroles de la chanson paillarde "Le duc de Bordeaux ressemble à son père Son père à son frère et son frère à mon c...", tout le monde connait la suite avec quelque chose qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau et difficile de considérer que Macron était en première ligne à part sur les gilets des manifestants.
La première partie de la manifestation s’est très bien passée et on a pu voir de près les forces de polices équipées qui fermaient l’Intendance en haut et en bas mais il ne s’est rien passé à ce niveau là. Ce n’est comme toujours qu’à l’approche de la place Pey-Berland que les choses se gâtent et encore une fois c’est dans ce périmètre que ça a "frotté" sans connaître les débordements de la semaine passée. Si globalement la mobilisation a été plus faible que le samedi précédent sur l’ensemble du territoire, il semble qu’à Bordeaux personne n’envisage de dételer avec de nombreux drapeaux tricolores dans la foule et bien sur le RIC. En parlant de séditieux pour les gilets qui continuent à manifester Nunez ne va pas vers l’apaisement qui serait nécessaire dans cette période de fête.
- Les manifestants se sentent français et ils le montrent
- Message à l’attention du Président.
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