Ce 5 juin, la journée mondiale de l’environnement aura une saveur particulière, pleine d’espoir. Le confinement nous en a donné la preuve : la somme d’actions individuelles peut avoir des effets spectaculaires sur notre planète. Pourquoi ne pas commencer par la préservation des abeilles sauvages, maillon indispensable de la biodiversité ? Contrairement à l’abeille à miel que nous connaissons tous, les abeilles sauvages ne vivent pas en colonie, ne fabriquent pas de miel et ne piquent pas : elles sont passionnantes à observer et complètement inoffensives pour les enfants ou les animaux de compagnie. Elles sont des pollinisatrices hors pair et sont donc indispensables pour la reproduction des végétaux et à la production agricole mondiale. Comme l’ensemble des pollinisateurs, les abeilles sauvages sont menacées par l’utilisation de pesticides, les changements climatiques et la raréfaction de leur habitat. Ces petites butineuses en mal d’abris où nicher s’installent de plus en plus dans les trous d’aération des fenêtres ou dans les galeries de vos murs en crépis. Nous pouvons tous avoir un geste positif pour l’environnement en offrant un toit à ces abeilles sauvages ! Chacun peut intégrer le réseau des Dorloteurs d’Abeilles en offrant son balcon ou un bout de jardin aux osmies, qui font partie de la grande famille des abeilles sauvages. La solution est livrée clé en main : les Dorloteurs reçoivent une maisonnette à abeilles sauvages (le Dorlotoir) et leur offrent ainsi un toit. En hiver, l’entreprise s’engage déparasiter et à conserver les cocons dans les meilleures conditions, en multipliant ainsi par 8 leurs chances de donner naissance à de nouvelles abeilles sauvages en pleine forme. Ainsi sont créées des zones de repeuplement en abeilles sauvages, dans le respect des souches locales.
Site Les dorloteurs d’abeilles