Rugby

Le sort s’acharne sur l’UBB après les frustrations de l’année passée voilà que de nouvelles poursuivent les hommes de Christophe Urios. Suite à un cas symptomatique c’est la rencontre qui est annulée, ce qui complique la vie sportive du groupe qui va aller jouer une demi-finale de Coupe d’Europe chez le voisin Toulousain sans avoir joué depuis trois semaines mais en ayant récupérer tout son effectif et surement beaucoup de fraicheur, mais cela n’est pas satisfaisant loin s’en faut !
Jérôme Prevot orfèvre des commentaires sur l’UBB dans le Midol, qui a rencontré Christophe Urios rapporte dans Rugbyrama les propos suivants : Christophe Urios ne nous avait pas caché en semaine combien cette situation était perturbante : « Si nous avions joué dimanche, nous n’aurions vécu notre premier entraînement collectif que vendredi, » avait-il indiqué, alors que son effectif s’entraînait par petits groupes. Mais le manageur des Bordelais ne voulait pas chouiner ou se plaindre plus qu’il n’en faut. « On subit les événements, mais je me sens l’âme d’un combattant. Je ne suis pas du tout démoralisé. On aura la fin de saison qu’on mérite. C’est sût que ce n’est pas celle qu’on avait imaginée. Nous avions déjà eu du mal à la lancer, rappelez-vous, avec un premier match reporté(contre le Stade Français, NDLR). Mais ce qui m’inquiète le plus, c’est quand même la santé de mes joueurs. Après sur un plan sportif, tous ces reports ont une incidence énorme sur le rythme ou plus exactement sur la dynamique de mon équipe. Le fait de jouer, de repartir tout de suite, c’est très important. » Urios connaît trop les contraintes du haut niveau pour ne pas craindre d’affronter Toulouse sans compétition fraîche dans les jambes : « Et en suivant, nous aurons peut-être à jouer trois matchs en une semaine, » poursuit Christophe Urios. Allusion à l’enchaînement possible : Bayonne-Agen-Castres entre le 7 et le 14 mai.
Recherche
Sur le même sujet
Bordeaux Gazette Annuaire
