Bordeaux

En septembre, l’Opéra National de Bordeaux a été très actif avec la complicité de nombreux partenaires culturels. Il a investi la ville pour proposer aux Bordelais(e)s et Girondin(e)s une rentrée sous le signe de la musique et du partage.
Pour la toute première fois, l’ONB a d’abord proposé une avant saison hors les murs, qui a réuni près de 20 000 personnes : Chœur de Rugby, La rentrée en musique, La Nuit des Escaliers. La musique classique, mais pas que, a été partout autour des bordelais, accessible à tous.
Le 3 septembre, le Chœur a proposé un intermède musical en plein air sur le parvis du Grand Théâtre dans le cadre du festival « OUVRE LA VOIX » organisé par la Rock School Barbey.
Les vendredi 8 et 15 septembre, la place de la Comédie était « the place to sing » avec « CHŒUR DE RUGBY » : devant 4000 spectateur(ice)s en moyenne chaque soir, dont des supporters surpris et émus des équipes de rugby invitées à Bordeaux pour la Coupe du Monde, le Chœur a entonné les hymnes et chants traditionnels des Fidji, de la Roumanie, ou encore de l’Afrique du Sud... Prochain et dernier rendez-vous à la croisée de l’ovalie et du monde lyrique : ce vendredi 29 septembre à 19h devant le Grand Théâtre
Enfin, dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine, « LA NUITS DES ESCALIERS » * a réuni dans 9 lieux de la ville 2500 spectateur(ice)s environ, autour de performances classiques, hip-hop ou encore rap, tandis que 8500 personnes ont pu visiter le Grand Théâtre et ses coulisses.
Puis, près de 5000 personnes ont participé, de l’Auditorium aux places bordelaises, mais également grâce au réseau d’une vingtaine de lieux partenaires de Bordeaux Live Opera, au concert d’ouverture de saison de l’ONB, auxquelles s’ajoutent les 130 000 auditeur(ice)s de France Musique. Un bilan positif pour l’ensemble de ces événements de l’Opéra National de Bordeaux, qui s’est lancé le pari de démocratiser la musique lyrique et symphonique bien au-delà de ses murs. Et d’aller à la rencontre d’un public qui n’ose pas toujours franchir les portes du Grand Théâtre ou de l’Auditorium, rappelant ainsi que les émotions du spectacle vivant sont accessibles à tout le monde, loin des idées reçues.
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