A l’aune du troisième critère les Hauts de France après une excursion dans l’orange repasse dans le rouge dans le cadre des nouvelles évaluations qui intègre le troisième critère qui est la capacité des départements à tester et tracer les cas contacts. La dynamique de l’épidémie maintenant classe les départements selon le niveau suspicion de coronavirus dans le total des visites quotidiennes aux urgences, les tensions dans les services de réanimation et ce fameux troisième critère ce qui a traumatisé le département de l’Oise (60) qui avait vu héberger un"cluster" important avec le premier décès du coronavirus mais ce classement est du à la tension sur les services de réanimation. C’est Olivier Véran qui a présenté cette carte sur laquelle la France est divisée en deux avec la partie verte qui compte 69 départements qui vont accéder à un début de remise en route alors que quatre régions regroupant 32 départements restent avec des contraintes plus lourdes mais le président du département du Bas-Rhin estime que le département n’est pas prêt à cette remise en route alors que le port du masque devrait être obligatoire. La Nouvelle-Aquitaine confirme sa couleur verte sur la carte de déconfinement avec 87 lits de réanimation occupés sur 431 disponibles dans toute la région. Si le territoire a enregistré cinq nouveaux décès en 24 heures, 27 patients sont sortis guéris de l’hôpital dans ce même laps de temps. En attendant un retour à l’école est donc prévu dès le 12 mai, mais ce n’est pas une véritable rentrée scolaire avec seulement près d’un million de scolaires. Il semblerait que malgré tout sur les tests il y ait des zones d’ombre sur les disponibilités et sur le fonctionnement de ces tests. Le plan sera "adapté tout au long du mois de mai" et "fin mai" le gouvernement saura s’il peut commencer le début d’une "nouvelle phase" en "élargissant les libertés". En revanche, si l’épidémie repart, Edouard Philippe promet d’en "tirer les conséquences" et d"adapter" la stratégie