Le concept novateur, mêlant dépassement de soi avec immersion sonore & visuelle, fait fureur aux États-Unis et à Paris. Fondé par 2 bordelais, Journey a débarqué mercredi 15 juillet en plein centre de la Belle Endormie, au 57 cours d’Albret. Les réservations sont ouvertes depuis le 06 juillet. Activité innovante oblige, tout un vocabulaire est d’usage pour en parler. Le principe de l’expérience Journey est de plonger les Riders* (les clients qui pédalent sur les bike) dans l’univers exclusif du Studio (la salle de cycling). Chacun sur leur Bike (un vélo fixe dernière génération), les Riders* pédalent à l’unisson, au rythme de la musique. Ils sont bien sûr guidés par leur Coach, mais également transportés par l’effort collectif et les jeux de lumière eux-mêmes synchronisés au son. Dans cette bulle sensorielle, et pendant les 45 minutes que dure la Session (le cours), chaque Rider* est poussé à se dépasser, physiquement et mentalement. La signature de Journey, “Explore new ways” (pour “Explorez de nouveaux territoires” en français), illustre cette recherche de dépassement de soi, plus que celle de la prouesse sportive. De ce fait, Journey s’adresse à toutes et tous, quel que soit le niveau sportif. Idéalement situé en plein centre de Bordeaux — au 57 cours d’Albret, le Studio Journey a été pensé pour offrir à ses clients un véritable moment de déconnexion : design lumineux, ambiance chaleureuse, mélange bois-végétaux-minéraux, mobilier conçu en collaboration avec un jeune designer bordelais, vestiaires tout confort avec serviettes, produits de douche et de beauté gratuitement mis à disposition... Côté équipement, le Studio vise également le haut-de-gamme. Les Bikes, de la célèbre marque Stages Cycling, viennent tout droit des États-Unis pour garantir une expérience de pédalage optimale. Le matériel sonore, signé Bose et installé par des spécialistes de la prestation scénique, équipe le lieu, des vestiaires jusqu’au Studio.
*rider(nom masculin origine anglaise) Se dit d’un cavalier qui monte en course sans être un jockey : gentleman rider. Dans le cas présent on peut parler de pédaleur, ce qui serait plus strictement français.