Alain Aviotte dresse un bilan très positif de cette édition 2011 qui a été bien suivie et très fréquentée.

Alain Aviotte et Sophie Blanc

photo Bordeaux Gazette - Bernard Lamarque

Le temps a été de la partie malgré un week-end de départ plutôt maussade qui n’a pas découragé les amateurs. Il est vrai que certaines personnes aimeraient que cela dura plus longtemps avec les "Allées de Tourny" prenant les allures de "Las Ramblas" comme à Barcelone, mais sur une moins longue distance. Bordeaux redeviendrait-elle une ville du Sud ? Elle renoue avec Barcelone avec un vol direct. Elle affirme ses liens avec Bilbao, sa jumelle qui a été l’invitée majeure de "Bordeaux Fête le Fleuve". "Est-ce l’Espagne en toi qui pousse un peu sa corne" comme le chantait si merveilleusement bien Claude Nougaro au sujet de Toulouse. Depuis 3 ans la qualité s’améliore ;, la décoration s’améliore, les animations sont de meilleure qualité, reconnait Alain Aviotte qui s’investit beaucoup dans cette manifestation. Il dort peu durant ses 17 jours où chaque soir voit la réception d’un chef nouveau aux Étoiles d’Épicure.

Mika porte Sophie Blanc pour qu’elle soit plus grande que Naouelle Yousfi et Lucie Salomon

photo Bordeaux Gazette - Bernard Lamarque

Dans tout cela, l’ambiance la plus hispanique c’est bien celle de ce Bar à Vin qui n’a d’existence propre depuis 3 ans que pendant les Épicuriales et quelques autres manifestations car Sophie Blanc, vend du vin et c’est ce qu’elle va faire dimanche soir, car elle entend bien ne rien ramener. Les tarifs au bar seront identiques, mais celui qui voudra emporter la caisse de vin qui lui plaît, l’obtiendra au prix public. Le programme est simple, vous goûtez, vous aimez et vous achetez pour partir avec. La "Soirée Liquidation" c’est ça, mais avant de partir, vous pouvez toujours vous faire une assiette de charcuterie façon tapas et quelques verres, sans abuser bien sûr.

Les bonheurs de Sophie